CHASSAGNE-MONTRACHET "1C MORGEOT" DOMAINE LA GALOPIERE 75CL
Référence produit : 111143
EN COURS DE RÉAPPROVISIONNEMENT
63,00
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Eusèbe FOURNIER débute son métier de vigneron en 1882 à Bligny-sous-Beaune, en Bourgogne. De son mariage avec « Fanie » MORON naîtront Louis et Henri.Louis FOURNIER devient vigneron à son tour, à 23 ans. Il épouse Germaine BOURGEOT et auront cinq enfants : Henri, Roger, Renée, Henriette et André. Adulte, chaque enfant suit son propre chemin. Seul Henri FOURNIER ,l’aîné,poursuit la gestion du domaine familial. En se mariant en 1951 avec Gilberte BELORGEY, Henri et Gilberte agrandirent à leur tour l’exploitation viticole, mais aussi polyculturale, installée désormais à Tailly.C’est en 1981 que Gabriel FOURNIER, leur seul enfant, devient à la fois tâcheron et intervenant au Lycée Viticole et au CFPPA de Beaune où il enseigna l’œnologie pendant quatre années.En 1986, Gabriel a l’honneur et le privilège de cultiver 3 cuvées des célèbres Hospices de Beaune, jusqu’en 1994.En 1990, Claire et Gabriel FOURNIER quittent Tailly et s’installent dans leur résidence et leur lieu de travail actuels à Bligny lès Beaune, au lieu-dit communal « La Galopière ».En 2014, le domaine FOURNIER Gabriel devient l’EARL DOMAINE DE LA GALOPIERE et exploite 11 ha de vignes dans la Côte de Beaune et 35 ha de champs. De son expérience et sa passion, Gabriel souhaite transmettre le métier à son fils Vincent, aîné de ses trois enfants, qui est déjà très impliqué dans l’exploitation viticole bourguignonne.Depuis le 1er août 2016, Vincent FOURNIER et sa compagne Aurélie constituent la 5e génération d’exploitants du domaine.Ce Chassagne-Montrachet se présente en lamé or. Une robe bien marquée, aux reflets verts. Ses arômes d’aubépine, d’acacia et de chèvrefeuille se mêlent à la verveine et à la noisette. Le silex rappelle la minéralité profonde d’un vin parfois toasté, spontanément beurre frais. L’âge le porte vers des notes miellées ou de poire mûre. Tout en courbe et souvent opulent, son attaque est joliment enlevée. Au palais, le gras s’accorde à son moelleux de façon persistante. Son opulence et sa puissance en font le partenaire idéal des viandes blanches de grande noblesse, comme la volaille et le veau en sauce. Sans oublier sa prestation sur les poissons, qu’ils soient en couscous épicés ou traités sur le mode asiatique, au curry et au wok. Le saumon, très aromatique lui aussi, l’apprécie tout particulièrement.